Découvrez sur France Inter les émissions de Jean Claude AMEISEN, médecin, chercheur en biologie, directeur du Centre d'Etudes du Vivant.
Conteur de la magie du vivant, à la croisée des disciplines du savoir, Jean Claude Ameisen nous invite à la découverte du monde des abeilles où de belles surprises nous attendent.
Le chant des abeilles Emission en replay France Inter
Où la diversité génétique au sein de la colonie est facteur de robustesse et d’adaptabilité. La vie de la colonie pendant l’hiver. Le chant de la reine. Les vibrations sonores de la danse frétillante.
L’intelligence des abeilles Sur les épaules de Darwin
Nos abeilles ont des talents de mathématiciennes : Maîtrise des concepts d’identique et différent, déduction de règles générales abstraites à partir d’activités quotidiennes, sens des valeurs numériques, reconnaissance de la symétrie...
Dialogue entre les abeilles et les fleurs Sur les épaules de Darwin
La coévolution crée une grande subtilité dans les échanges entre nos abeilles et les végétaux : Ainsi, les fleurs n’afficheraient pas seulement des signaux d’appels visuels à l’intention des butineurs, elles auraient aussi la capacité d’entendre leurs bourdonnements d’approche et de modifier leur production de nectar ! Productions de caféine ou de nicotine seraient une incitation au butinage par fidélisation à la fleur…
L’apiculteur aveugle Sur les épaules de Darwin
Echanges épistolaires entre François Hubert qui révolutionna les connaissances sur la biologie de l’abeille, créateur de la ruche en feuillets et Charles Bonnet, qui le conseillait et le dirigeait dans ses recherches. Nous sommes au temps où le mode de fécondation de la reine était encore un mystère. François Hubert invente des expériences qui répondront à cette question.
François Hubert (1750-1831) est l’auteur de l’ouvrage « Nouvelles observations sur les abeilles » disponible sur Gallica
Dame bourdon et le trèfle des prés. Sur les épaules de Darwin
Plantes et animaux sont reliés par des relations indirectes complexes. Ainsi, le nombre de bourdons terrestres dépend du nombre de souris dont ils utilisent les nids. Mais la population de souris est directement en relation avec celle des chats. Donc, plus il y a de chats moins il y a de trèfle des prés, fécondés par les bourdons…